Nostradamus, de son preuve en invoquant Michel de Nostredame, est sans soupçon l'une des portraits les plus caractéristiques de la prédiction et divinatoire. Né en 1503 en France, il est surtout renommé pour ses prédictions énigmatiques et voire cryptiques, publiées dans son ouvrage Les prophéties. Bien qu'il ait connu à une ère où les informations se exerçaient par courrier, imaginez si Nostradamus avait eu route à la technologie moderne comme par exemple l'email. La voyance gratuite par mail, dans le cadre de Nostradamus, aurait surnagé une évolution intéressante. Elle aurait autorisé un développement plus rapide et plus vaste de ses prévisions. Les personnages de partout auraient pu lui propager des réflexions et avoir ses mots en accroissement, unique toutes les barrières de la lettre de change et de quelques instants. Cela aurait éventuellement amplifié son impact et sa renommée. Cependant, la individualité cryptique et parfois ambigüe de ses quatrains aurait par contre posé des défis parfaits dans l'interprétation des email. Les destinataires auraient pu définir difficile de trouver une solution à les véridiques effets de ses contenus.
Comment vérifier la renommée des prédictions envoyées par email ? Comment manipuler la confidentialité et la sureté des informations personnalisées échangées ? Ces interrogations, plutôt actuelles à notre temps, auraient sans soupçon vivoté un défi fondamental pour Nostradamus et ses actuels. La voyance en audio par mail aurait pu transformer la renommée de Nostradamus lui-même. Au producteur local d'être vu de façon identique à un prophète mystérieux et secrète, il aurait du devenir acquis de façon identique à un guider plus accessible, toutefois même plus crédible. Cette facilité devrait fasciner mail voyance un audience plus global, mais elle aurait aussi pu se modérer le miroir et l'aura qui entourent ses prophéties, qui sont une grande question de son antécédents jusqu'à à présent. Toutefois, cette transformation devrait aussi soulever des interrogations éthiques et pratiques.